Résumé : Félix et Marie forment un jeune couple à qui la vie sourit… jusqu’à ce qu’ils se retrouvent soudain confrontés à la mort. Félix apprend de la bouche d’un éminent spécialiste que ses jours sont comptés. Il v d’abord s’efforcer de faire bonne figure, se prétendre de taille à affronter en philosophe un destin cruel, tout en souhaitant le bonheur de sa compagne. Bientôt, pourtant, le masque stoïque se fissure. A mesure qu’approche l’issue fatale, Félix ne veut plus admettre que Marie puisse jouir de la vie après la mort, la jeune femme devra choisir…
C’est donc l’histoire de Félix qui souffre d’un mal qui ne sera jamais évoqué explicitement. Il ne lui reste plus que quelques mois à vivre. Ne supportant pas l’idée de mourir seul, il demande à Marie sa compagne de mourir avec lui. Elle fait face à un choix difficile et ne sait pas quoi faire.
Ce roman a été écrit à la fin du XIXème siècle. Je trouve que cela se ressent dans l’écriture qui est assez ancienne. A cause de cela, les dialogues ne m’ont pas paru crédibles, plus particulièrement dans la première moitié du livre. Il faut dire que je ne lis habituellement que du contemporain.
J’ai l’impression d’être passée totalement à côté de ce livre. Je n’ai pas réussi à me plonger dedans. Les personnages m’ont paru superficiels, peu fouillés et on en sait d’ailleurs très peu sur eux. Je n’ai pas réussi à m’y attacher. Peut-être est-ce dû à la longueur du roman ?
La fin ne m’a pas convaincue, je l’ai trouvée plate comme le reste du roman.
Cette chronique sera finalement courte, tout comme ce roman. Je ne sais pas quoi en dire de plus.
En conclusion, un roman dont la quatrième de couverture m’avait attirée mais dont le contenu ne m’a finalement pas convaincue.
Stock, 154 pages, 7.50 euros